Dragon Age Inquisition avait déjà pas mal de sang, je sais désormais qu’il aussi du pinard que la carte met bien plus en avant que tous les autres items. Comme quoi, on peut être à la tête de l’organisation la plus puissante du monde local, exercer un long jeu de pouvoir sur les différentes régions, lier des alliances de fortune, fermer des brèches démoniaques et faire la peau à une horde de monstres et quand même se révéler connaisseur en bonnes bouteilles.
Je ne sais pas encore trop s’il y a une possibilité d’utiliser le vin en question pour soudoyer un garde ou pour tenter de séduire un membre de son groupe. En tout cas le jeu mérite le titre du RPG le plus alcoolisé depuis les caisses de bière vérolée de Fable.
En tout cas plus que le titre de jeu de l’année comme lui ont offert le jury des Game Awards entre deux coups de pubs pour Metal Gear ou les Destiny.
Entendons-nous bien, Dragon Age est loin d’être mauvais; c’est même plutôt plaisant de faire régner la terreur entre deux séances de drague un peu gênantes avec son crew dans la plus pure tradition Bioware.
C’est juste que bon, le jeu est un peu comme un sandwich au thon.
Si si, restez avec moi.
Comme le sandwich au thon, Dragon Age, est assez peu commun pour sortir de l’ordinaire. On ne mange pas du sandwich au thon tous les jours, et quand on tombe sur un exemplaire, bah, ça fait plaisir, ça rappelle la mer, les vacances.
Comme avec un sandwich au thon, dans Dragon Age parfois on tombe sur un morceau un peu pimenté, qui ajoute du croquant à l’aventure et c’est assez agréable.
Puis, assez rapidement et comme avec un sandwich au thon, on se rend compte que c’est un peu écœurant, on passe à autre chose, et on l’oublie à peu près aussi vite qu’on en a eu envie.
A l’inverse d’un sandwich au thon, les Britishs blasés de Videogamer disaient que Dragon Age ne s’apprécie pleinement qu’après une bonne quinzaine d’heures.
Et s’ils ont raison j’ai assez hâte d’y être parce que jusqu’à présent j’ai l’impression de naviguer en terrain connu et sympatoche plus que surprenant et GOTY.
Les combats sont faciles à prendre en main et relativement agréable, mais pas aussi joussifs et intenses qu’ils le devraient. Les à-côtés comme le craft occupent une place non négligeable dont je remettrai la découverte à plus tard jusqu’au générique. La gestion du groupe est à peu près aussi complexe qu’inutile et j’ai l’impression de passer plus de temps à chercher qui je suis en train de contrôler qu’à me servir des skills qui m’intéressent. L’histoire ne me donne pas d'urticaire ce qui est déjà un bon point.
Mais merde pour l’instant j’ai un sandwich au thon, aller on va dire un pan bagnat pour la qualité de production, mais rien qui me défrise au point de lâcher la danse nocturne.
On se revoit dans 15 heures pour vérifier où ça en est, mais d’ici là : Roger, un muscadet !
Je ne sais pas encore trop s’il y a une possibilité d’utiliser le vin en question pour soudoyer un garde ou pour tenter de séduire un membre de son groupe. En tout cas le jeu mérite le titre du RPG le plus alcoolisé depuis les caisses de bière vérolée de Fable.
En tout cas plus que le titre de jeu de l’année comme lui ont offert le jury des Game Awards entre deux coups de pubs pour Metal Gear ou les Destiny.
Entendons-nous bien, Dragon Age est loin d’être mauvais; c’est même plutôt plaisant de faire régner la terreur entre deux séances de drague un peu gênantes avec son crew dans la plus pure tradition Bioware.
C’est juste que bon, le jeu est un peu comme un sandwich au thon.
Si si, restez avec moi.
Comme le sandwich au thon, Dragon Age, est assez peu commun pour sortir de l’ordinaire. On ne mange pas du sandwich au thon tous les jours, et quand on tombe sur un exemplaire, bah, ça fait plaisir, ça rappelle la mer, les vacances.
Comme avec un sandwich au thon, dans Dragon Age parfois on tombe sur un morceau un peu pimenté, qui ajoute du croquant à l’aventure et c’est assez agréable.
Puis, assez rapidement et comme avec un sandwich au thon, on se rend compte que c’est un peu écœurant, on passe à autre chose, et on l’oublie à peu près aussi vite qu’on en a eu envie.
A l’inverse d’un sandwich au thon, les Britishs blasés de Videogamer disaient que Dragon Age ne s’apprécie pleinement qu’après une bonne quinzaine d’heures.
Et s’ils ont raison j’ai assez hâte d’y être parce que jusqu’à présent j’ai l’impression de naviguer en terrain connu et sympatoche plus que surprenant et GOTY.
Les combats sont faciles à prendre en main et relativement agréable, mais pas aussi joussifs et intenses qu’ils le devraient. Les à-côtés comme le craft occupent une place non négligeable dont je remettrai la découverte à plus tard jusqu’au générique. La gestion du groupe est à peu près aussi complexe qu’inutile et j’ai l’impression de passer plus de temps à chercher qui je suis en train de contrôler qu’à me servir des skills qui m’intéressent. L’histoire ne me donne pas d'urticaire ce qui est déjà un bon point.
Mais merde pour l’instant j’ai un sandwich au thon, aller on va dire un pan bagnat pour la qualité de production, mais rien qui me défrise au point de lâcher la danse nocturne.
On se revoit dans 15 heures pour vérifier où ça en est, mais d’ici là : Roger, un muscadet !
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