C’est une drôle d’histoire ces jeux de course.
J’ai triché lors de mes 1000 kilomètres de conduite accompagnée.
J’ai passé mon permis de conduire trois jours avant la fin de validité de mon code.
J’ai évité la conduite pendant plus d’un an après l’avoir enfin décroché.
La voiture la plus puissante qu’il m’ait été donné de piloter est une 207 diesel.
Bref, je n’aime pas vraiment les voitures ni la conduite. Un peu plus que le foot, mais définitivement moins que les endives au jambon.
Par contre dès qu’un jeu de course sort, il faut que je le teste. Et attention, pas que de la simu, les arcades, les jeux de kart, le rallye, la piste, la course en ville, les wipeout, les drivers, tout. A l’exception peut-être de la F1 qui reste bloquée quelque part au même niveau que le foot dans mon esprit malade.
Je veux dire, je n’ai absolument aucune connaissance en voitures, au grand désespoir de mon père, je suis bien incapable de comprendre ce qu’il y a de mal à conduire une Logan et j’ai un doute à chaque fois que je dois choisir le type d’essence à la pompe. Donc la précision de la modélisation, le son des moteurs, le comportement, non seulement je m’en tape, mais je suis bien incapable de faire la moindre différence et je ne choisis mes voitures qu'à la forme de la carrosserie ou à la couleur de la peinture.
Je ne m'aventure jamais dans le menu des réglages et la seule fois où j'ai ouvert l'éditeur de carrosserie c'était pour faire une réplique de la Coccinelle du film de Disney, avant de me rendre compte que 23 personnes s'en étaient déjà chargé moins de dix jours après la sortie du jeu.
Et puis en ligne, mis à part les lancements de console, j'évite de me frotter aux autres sous peine de remplir considérablement mon stock de MP d'insultes:
Pourtant je saute sur la moindre rumeur concernant le prochain Dirt, j'ai conservé la démo du plutôt médiocre WRC annuel jusqu'à la sortie du suivant, j'ai utilisé 9 de mes 10go d'espaces restant sur ma xbox pour installer Forza 4, son contenu additionnel et Forza Horizon, j'ai réarrangé mon bureau pour caser un volant et Kinect en détection de tête et je compare les prix une demie heure chaque mois lorsque je tombe sur un volant à 900° et les sièges de jeu qui vont avec. Allez comprendre.
Le point positif avec les jeux de course c'est qu'en règle générale et si l'on ne mégote pas sur le nombre de voitures, la durée de vie est colossale et je me lasse bien avant d'arriver au bout de la carrière solo.
La bonne idée de Forza est son programme de fidélité qui permet de cumuler le pognon et les cadeaux à travers tous les jeux de la franchise qui rapportent tous sur le même compte et déverrouillent des bonus pour les autres jeux. A chaque fois que je fais un tour de circuit, j'ai un peu l'impression de remplir un tampon sur une carte de fidélité Feu Vert : j'attends mon bonus comme d'autres attendent la peau de chamois offerte à la 4è révision.
Et vu les pseudos et avatars dans ma liste d’amis, je n’ai aucun doute quant à la capacité d’une part de l’audience à rejouer toutes les finales de grand-prix, toutes les spéciales de championnat du monde pour revivre les grands moments même en dehors du dimanche matin sur TF1.
Peut-être que ce que j’aime dans les jeux de course ce n’est pas la course justement et que comme je n’ai pas envie d’apprendre à jouer de la guitare, à tuer des danseuses ou à gérer un zoo, je me fait toujours happer par les jeux de course d’abord et avant tout parce qu’il y a un jeu et parfois un très accrocheur.
C’est donc peut-être pas une si drôle d’histoire que ça, ces jeux de course.
J’ai triché lors de mes 1000 kilomètres de conduite accompagnée.
J’ai passé mon permis de conduire trois jours avant la fin de validité de mon code.
J’ai évité la conduite pendant plus d’un an après l’avoir enfin décroché.
La voiture la plus puissante qu’il m’ait été donné de piloter est une 207 diesel.
Bref, je n’aime pas vraiment les voitures ni la conduite. Un peu plus que le foot, mais définitivement moins que les endives au jambon.
Par contre dès qu’un jeu de course sort, il faut que je le teste. Et attention, pas que de la simu, les arcades, les jeux de kart, le rallye, la piste, la course en ville, les wipeout, les drivers, tout. A l’exception peut-être de la F1 qui reste bloquée quelque part au même niveau que le foot dans mon esprit malade.
Je veux dire, je n’ai absolument aucune connaissance en voitures, au grand désespoir de mon père, je suis bien incapable de comprendre ce qu’il y a de mal à conduire une Logan et j’ai un doute à chaque fois que je dois choisir le type d’essence à la pompe. Donc la précision de la modélisation, le son des moteurs, le comportement, non seulement je m’en tape, mais je suis bien incapable de faire la moindre différence et je ne choisis mes voitures qu'à la forme de la carrosserie ou à la couleur de la peinture.
Je ne m'aventure jamais dans le menu des réglages et la seule fois où j'ai ouvert l'éditeur de carrosserie c'était pour faire une réplique de la Coccinelle du film de Disney, avant de me rendre compte que 23 personnes s'en étaient déjà chargé moins de dix jours après la sortie du jeu.
Et puis en ligne, mis à part les lancements de console, j'évite de me frotter aux autres sous peine de remplir considérablement mon stock de MP d'insultes:
Pourtant je saute sur la moindre rumeur concernant le prochain Dirt, j'ai conservé la démo du plutôt médiocre WRC annuel jusqu'à la sortie du suivant, j'ai utilisé 9 de mes 10go d'espaces restant sur ma xbox pour installer Forza 4, son contenu additionnel et Forza Horizon, j'ai réarrangé mon bureau pour caser un volant et Kinect en détection de tête et je compare les prix une demie heure chaque mois lorsque je tombe sur un volant à 900° et les sièges de jeu qui vont avec. Allez comprendre.
Le point positif avec les jeux de course c'est qu'en règle générale et si l'on ne mégote pas sur le nombre de voitures, la durée de vie est colossale et je me lasse bien avant d'arriver au bout de la carrière solo.
La bonne idée de Forza est son programme de fidélité qui permet de cumuler le pognon et les cadeaux à travers tous les jeux de la franchise qui rapportent tous sur le même compte et déverrouillent des bonus pour les autres jeux. A chaque fois que je fais un tour de circuit, j'ai un peu l'impression de remplir un tampon sur une carte de fidélité Feu Vert : j'attends mon bonus comme d'autres attendent la peau de chamois offerte à la 4è révision.
Et vu les pseudos et avatars dans ma liste d’amis, je n’ai aucun doute quant à la capacité d’une part de l’audience à rejouer toutes les finales de grand-prix, toutes les spéciales de championnat du monde pour revivre les grands moments même en dehors du dimanche matin sur TF1.
Peut-être que ce que j’aime dans les jeux de course ce n’est pas la course justement et que comme je n’ai pas envie d’apprendre à jouer de la guitare, à tuer des danseuses ou à gérer un zoo, je me fait toujours happer par les jeux de course d’abord et avant tout parce qu’il y a un jeu et parfois un très accrocheur.
C’est donc peut-être pas une si drôle d’histoire que ça, ces jeux de course.
Commentaires
La BD :D et c'te MP d'insulte :D
Je n'ai jamais vraiment aimé non plus les jeux de course (à part les DIRT), en partie aussi car il y a tout un aspect réservé aux grands amateurs des belles mécaniques.